L’ACTUALITÉ EN BREF

 »Ma propre mort aurait été préférable à la découverte de mon homosexualité » 

Selon Lerugbynistere.fr – La confession bouleversante de l’ancien Wallaby Dan Palmer. Passé par Grenoble, l’Australien a révélé son homosexualité dans une lettre émouvante. « Je rêvais de disparaître, de changer de nom et de recommencer ma vie. Il n’est pas exagéré de dire que ma propre mort était préférable à quiconque découvrant que j’étais gay. » Dan Palmer s’est confié comme jamais auparavant dans une lettre publiée par le Sydney Morning Herald. L’ancien pilier australien ne cherchait pas à attirer la lumière sur lui, mais il a senti que c’était quelque chose qu’il devait faire pour aider « quelqu’un qui se trouve dans une position similaire. » 



Au Bénin, l’homosexualité dans le collimateur des évêques

Selon Fr.sputniknews.com – Les évêques béninois dénoncent une introduction progressive de l’homosexualité dans les législations sur le continent africain par des bailleurs de fonds internationaux qui, disent-ils, en font une condition d’accès à l’aide. Une déclaration concomitante à l’annonce papale en faveur des homosexuels. Les religieux se sont dits très préoccupés par la «promotion insidieuse» et l’introduction progressive de l’homosexualité comme «droit humain dans les législations des pays de l’Organisation des États d’Afrique ».

Au Maroc, une étude officielle se penche sur la sexualité «des hommes avec les hommes»

Selon Fr.sputniknews.com – En toute discrétion, le ministère marocain de la Santé mène en ce moment une étude scientifique pas comme les autres. Sa particularité est qu’elle sort du placard un tabou tenace: celui du comportement sexuel de la population masculine gay du Maroc.



Narbonne : il apprend l’homosexualité de sa fille, la menace de mort
et écope d’un an de prison

Selon France3 – Un père de famille a parcouru près de 800 kilomètres pour retrouver sa fille à Narbonne, dans l’Aude, et la menacer de mort alors qu’elle venait de lui annoncer son homosexualité. Pris de peur devant ce déferlement de haine, la jeune femme se réfugie à l’intérieur de la faculté. Le père essaye de la suivre mais se voit interdire l’accès par la direction de l’établissement. Tout de suite, la police est alertée, elle se rend sur place. Le père est alors interpellé et placé en garde à vue. Il reconnaît les faits, mais les minimise. L’homme a été jugé en comparution immédiate, il a été condamné à une peine de 24 mois de prison, dont la moitié assortie du sursis probatoire pour une durée de deux ans. Il a également l’interdiction de rentrer en contact avec les victimes.

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