Il prépare un nouvel album pour 2007 et met à jour sa situation financière
Michaël Jackson prépare son retour sur la scène musicale avec un contrat exclusif avec Two Seas Records, une étiquette située au Bahreïn, sa patrie adoptive. Cette étiquette est une entreprise commune entre Abdulla Hamad Al-Khalifa et Michaël Jackson.
Guy Holmes, président de lʼétiquette britannique Gut Records, a été nommé PDG de Two Seas et il aidera Jackson a gérer cette entreprise. Gut Records est la compagnie derrière le succès «Axel F» de Crazy Frog.
Dans un communiqué, Jackson affirme quʼil planifie de lancer un nouvel album à la fin 2007. « Je suis incroyablement excité par ma nouvelle entreprise et jʼai hâte de retourner en studio pour faire de la musique » affirme Jackson. Son dernier album a été «Invincible» paru sur Epic en 2001.
Alors quʼil était sous le coup dʼaccusations criminelles en matière dʼabus sur des enfants, Le Point avait demandé à ses lecteurs de ne pas porter de jugement trop rapide et de laisser la justice faire son travail, toute personne étant réputée innocente jusquʼà preuve du contraire. Notre position éditoriale dans cette affaire allait à lʼencontre de la majorité des positions exprimées dans lʼopinion publique qui considérait Jackson comme coupable avant même le début de son procès.
Nous avions finalement raison de susciter la prudence auprès de nos lecteurs puisque Michaël Jackson aura été complètement acquitté de toute accusation, à lʼissue du procès.
Cette affaire nʼest pas sans soulever notre propre expérience avec les mauvaises habitudes de certains groupes militants homosexuels québécois qui accusent souvent les autres de gestes terribles avant même que les tribunaux, si cʼest le cas, ne rendent leur jugement sur les questions soulevées. Certains parlent du syndrome des “bitches” chez les gais, nous préférons parler de manque de prudence. Matière à réflexion!
Michaël Jackson obtient un
rééchelonnement
de sa dette
NEW YORK – Michaël Jackson a annoncé jeudi la conclusion dʼun accord sur un refinancement de sa dette, garanti par ses droits sur le catalogue des Beatles.
Le chanteur a emprunté plus de 200 millions de dollars à un fonds dʼinvestissement new-yorkais, Fortress Investment Group.
Ces prêts sont arrivés à échéance en décembre 2005 et le fonds dʼinvestissement new-yorkais était censé pouvoir obtenir les 50% que détient Michaël Jackson sur le catalogue des Beatles, évalués à un demi-milliard de dollars, en cas de défaut de paiement.
A Bahreïn, où le chanteur vit désormais, ses représentants ont publié un communiqué annonçant que Michaël Jackson avait “restructuré ses finances” avec lʼaide de Sony, qui détient le reste des parts du catalogue des Beatles.
Les termes de ce nouveau montage financier nʼont pas été rendus publics.