JAMAIS 51 POUR GAY GLOBE MÉDIA

Logo Jamais 51

Par: Magazine Gay Globe

Image: Générée électroniquement ©Gay Globe

Le Groupe Gay Globe Média lançait, dimanche 23 février 2025, son nouveau logo rebelle en réponse directe au président des États-Unis, Donald Trump, et à ses vaines tentatives d’annexer l’État souverain du Canada.

Cette décision d’afficher nos couleurs politiques s’inscrit dans le mouvement international de soutien au Canada, «Never 51», alors que le gouvernement américain a déclaré une guerre économique à l’ensemble des pays de la planète, menaçant militairement le Panama et le Groenland.

«Jamais 51» a été lancé pour mettre en lumière la spécificité du Canada et du Québec, deux entités politiques qui n’ont rien à voir avec les États-Unis. Le fait que Donald Trump insulte continuellement le Premier ministre Trudeau et, par ricochet, le Canada, doit nous inciter à la rébellion contre ces propos. S’ils ne sont pas contrés, ils pourraient influencer l’imaginaire de certains Américains.

Selon ChatGPT, le Canada et les États-Unis ont des systèmes politiques distincts, influencés par leur histoire et leur culture. Le Canada est une monarchie constitutionnelle avec un régime parle-mentaire où le Premier ministre, chef du gouvernement, est issu du parti majoritaire à la Chambre des communes. Les États-Unis, une république fédérale, ont un régime présidentiel où le président, élu indépendamment du Congrès, exerce un pouvoir exécutif fort.

La politique canadienne met davantage l’accent sur le collectivisme et les services publics, tandis que les États-Unis privilégient l’individualisme et le libre-marché. Le bipartisme américain contraste avec le multipartisme canadien, favorisant des approches plus diversifiées en politique intérieure et sociale. Aux États-Unis, le chef d’État et commandant en chef des armées est le président Trump. Au Canada, le chef d’État et commandant en chef des armées est le roi Charles III.

La hausse des cas de VIH se poursuit à Montréal

Selon: Alice Girard-Bossé / La Presse  –  Le VIH est toujours en progression à Montréal : plus de 300 nouveaux cas ont été recensés cette année. Le coût des médicaments et la stigmatisation représentent encore des obstacles majeurs pour limiter la transmission de la maladie, alerte la Santé publique. Dans la dernière année, les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes et les nouveaux arrivants ont représenté la majorité des nouveaux cas de VIH à Montréal. 

Sachant que la plupart des personnes souhaitant immigrer dans la métropole doivent réaliser un test de dépistage du VIH, «ça peut en partie expliquer le nombre de cas observés dans cette population».

L’utilisation de la PPrE-VIH dans neuf provinces canadiennes

Selon: Santé Canada  –  En 2021, on estime que 23 644 personnes ont eu une prescription de PPrE-VIH, ce qui correspond à une prévalence de la PPrE-VIH de 66,9 pour 100 000 personnes. Ce nombre représente une multiplication par 1,8 depuis 2018. Le ratio PPrE-aux-besoins était de 16,8, ce qui signifie que pour chaque personne nouvellement diagnostiquée avec le VIH, 17 personnes séronégatives prenaient une PPrE-VIH.

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