Entrevue avec Alain Rhéaume sur la fin de vie et le SIDA

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Le VIH, ou virus de l’immunodéficience humaine, est un virus qui attaque le système immunitaire, spécifiquement les lymphocytes T CD4, affaiblissant ainsi la capacité du corps à se défendre contre les infections et les maladies. Le VIH se transmet principalement par contact avec certains liquides corporels infectés, tels que le sang, le sperme, les sécrétions vaginales et le lait maternel. Les modes de transmission courants incluent les rapports sexuels non protégés, le partage de seringues contaminées lors de l’utilisation de drogues injectables, la transmission de la mère à l’enfant pendant la grossesse, l’accouchement ou l’allaitement, ainsi que l’exposition à du sang infecté.

Le SIDA, ou syndrome d’immunodéficience acquise, est la phase avancée de l’infection par le VIH. Le SIDA se développe généralement des années après l’infection par le VIH, lorsque le système immunitaire est gravement affaibli et que le corps devient vulnérable à diverses infections opportunistes et à certains types de cancers. Les symptômes du SIDA peuvent inclure des infections graves, une perte de poids, des fièvres persistantes, une fatigue sévère, des ganglions lymphatiques enflés et des lésions cutanées inhabituelles. Sans traitement, le SIDA peut être fatal.

Il est important de noter que toutes les personnes infectées par le VIH ne développeront pas nécessairement le SIDA. Avec un traitement antirétroviral approprié, il est possible de contrôler la charge virale, de maintenir une bonne santé et de prévenir le développement du SIDA. De plus, des mesures de prévention efficaces, telles que l’utilisation de préservatifs lors des rapports sexuels, le dépistage régulier du VIH et la prise de précautions pour éviter l’exposition au sang contaminé, peuvent réduire considérablement le risque de transmission du VIH et de développement du SIDA.