L’ACTUALITÉ VIH/SIDA EN BREF

La FDA approuve un traitement du VIH-1
(Selon Zone Bourse)

GlaxoSmithKline annonce ce mardi que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a approuvé son schéma thérapeutique à deux médicaments, pour le traitement des patients adultes atteints du VIH-1, l’infection à l’origine du sida. La FDA a ainsi approuvé le Dovato, un schéma thérapeutique complet à un comprimé composé de dolutégravir et de lamivudine et destiné au traitement de l’infection par le VIH-1 chez les adultes – sans antécédents de traitement antirétroviral ou résistance à l’un ou l’autre de ces composés. Selon GSK, ce médicament permettra aux patients de traiter leur infection avec le moins de médicaments possible. Dovato est par ailleurs en cours d’examen par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et les autorités de réglementation du Canada, de l’Australie, de la Suisse et de l’Afrique du Sud.

Santé sexuelle : comment la prévention a oublié les lesbiennes
(Selon Lesinrocks.com)

Manque d’informations, clichés, perceptions biaisées des gynécos… La santé sexuelle des femmes lesbiennes et bies est encore trop souvent négligée par le milieu médical. Une invisibilisation qui n’est pas sans conséquences.

Maintenir la dynamique de la riposte au sida dans le monde
(Selon ONUSIDA)

Lors d’une visite en Afrique du Sud, Michel Sidibé, Directeur exécutif de l’ONUSIDA, a formulé la mise en garde suivante: la riposte mondiale au sida se trouve à un point d’inflexion, auquel les acquis obtenus jusqu’ici pourraient facilement s’inverser, sauf si des actions urgentes sont entreprises pour atteindre les objectifs fixés pour 2020 et les buts ambitieux définis pour la décennie à venir.

Ils montrent pourquoi le Sida se multiplie plus vite chez les personnes tuberculeuses
(Selon La Dépêche)

Leader mondial de la recherche sur la tuberculose et la biologie des infections, l’Institut de pharmacologie et de biologie structurale de Toulouse vient de se distinguer à travers une étude. Dans leur travail de recherche fondamentale, les chercheurs toulousains ont montré que chez les patients souffrant de tuberculose sévère, le virus VIH se propageait plus facilement en utilisant des nanotubes entre les macrophages (cellules hôtes). «Ces travaux apportent une connaissance nouvelle alors que peu d’équipes travaillent sur la co-infection tuberculose/VIH.»

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