9 000 résultats de dépistage VIH potentiellement erronés
Selon: Quentin Dufranne / Journal Métro – Au total, 9 000 patients des centres de dépistage des hôpitaux Lakeshore, St Mary’s et LaSalle auraient potentiellement reçu un résultat d’infection au VIH faussement négatif. Début septembre, le fabricant, Ortho Clinical Diagnosis, aurait signalé un problème concernant un des composants de deux lots du test utilisés entre les mois de janvier à juin 2022. Dès qu’il en a été informé par le fabricant, le laboratoire Optilab du Centre universitaire de santé McGill (CUSM) a pu identifier 9000 patients de ses centres de dépistage. Optilab-CUSM Montréal a ensuite retesté 3000 échantillons prove-nant de tests antérieurs effectués sur des femmes enceintes. L’ensemble des échantillons retestés se sont avérés de nouveau négatifs, confirmant ainsi le résultat original. Selon le ministère de la Santé et des services sociaux (MSSS) du Québec, d’autres laboratoires auraient aussi utilisé des tests défaillants. Les laboratoires concernés sont: Montréal-CUSM, Mauricie-Centre-du-Québec et Sague-nay-Lac-Saint-Jean. Questionné par Métro quant au nombre de résultats qui se sont avérés faussement négatifs, le ministère de la Santé et des services sociaux a expliqué ne pas avoir reçu cette information pour le moment.
VIH/Sida : plus de 7 milliards de dollars d’économies grâce à des traitements efficaces et plus abordables
Selon: Nations Unies – Les 7 milliards de dollars d’économies sont le résultat d’un investissement précoce de près de 100 millions de dollars de la part d’UNITAID pour surmonter les obstacles qui empêchent une utilisation à grande échelle et une adoption rapide par les pays et les partenaires. «Ces obstacles comprennent les prix élevés, les approvisionnements insuf-fisants, les obstacles réglementaires, les restrictions en matière de propriété intellectuelle, les goulets d’étranglement de la chaîne d’approvisionnement, la faible demande et les lacunes en matière de données probantes, en plus de l’identification de solutions mieux adaptées à une utilisation dans des contextes à faibles revenus», a déclaré lors d’un point de presse, Hervé Verhoosel, porte-parole d’UNITAID.
Le DTG est un médicament plus efficace, plus facile à prendre et il engendre moins d’effets secondaires que les autres médicaments actuellement utilisés. Il présente également une barrière génétique élevée au développement d’une pharma-corésistance, ce qui est important étant donné que la résistance aux traitements à base d’EFV et de névirapine tend à augmenter.
CONSOMMATION DE PORNO LIÉE À DES PROBLÈMES DE SANTÉ GRAVES
Selon: NewsHub – Un lien nouveau et préoccupant a été découvert entre les hommes qui regardent de la pornographie et une grave condition de santé, selon une nouvelle étude. L’étude publiée dans Body Image a révélé un lien significatif entre l’utilisation « problématique » de la porno-graphie chez les hommes et les chances qu’ils développent un trouble alimentaire. Des chercheurs de l’Université de Haïfa et du Max Stern Yezreel Valley College en Israël ont mené l’étude portant sur 705 hommes. Leur âge variait de 18 à 68 ans, avec une moyenne d’âge de 32 ans.
L’étude a été publiée plus tôt ce mois-ci. Environ 68 % des hommes ont déclaré être hétérosexuels, tandis que les autres se sont identifiés comme faisant partie d’un groupe minoritaire sexuel. Les hommes participant à l’étude ont été interrogés sur leur consommation de pornographie et s’ils avaient adopté des comportements liés aux troubles alimentaires, tels que les crises de boulimie et les purges. Les résultats ont montré que, indépendamment de leur orientation sexuelle, les hommes ayant une consommation plus élevée de pornographie étaient plus susceptibles de comparer leur corps à ceux vus dans les films pornographiques et d’avoir une image négative de leur propre physique.