LE FIL DE PRESSE EN BREF

Photo Yémen

Recherches par: Magazine Gay Globe

Photo: Le Yemen par le National Geographic Kids

YÉMEN: Treize personnes condamnées à mort pour homosexualité

Selon: AFP – Le procès s’est tenu à Ibb, une province contrôlée par ces insurgés proches de l’Iran, dont les attaques contre les navires en mer Rouge et dans le golfe d’Aden perturbent le trafic maritime mondial. Seize personnes au total étaient sur le banc des accusés, donc trois ont écopé de peines de prison, selon la source judiciaire qui s’est exprimée sous couvert d’anonymat, car elle n’est pas autorisée à parler à la presse. Trente-cinq autres personnes ont été arrêtées récemment à Ibb pour des raisons similaires, a-t-elle ajouté. 

Dans des vidéos transmises à l’AFP, dont l’authenticité n’a pas pu être vérifiée de manière indépendante, on voit un juge dans un tribunal énumérer les charges retenues contre les accusés, incluant l’homosexualité, l’« attentat à la pudeur », l’« incitation à la débauche » et la « diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs », avant de les condamner à une mise à mort en public. Le verdict peut fait l’objet d’un appel. 

Pourquoi les policiers ne peuvent intervenir dans les campements illégaux dans les lieux publics à Montréal ?

Par: Gay Globe – La question des campements illégaux sur les terrains privés ou publics suscite de nombreuses questions depuis que des centaines de personnes se sont retrouvées à la rue au Québec, en raison de la crise du logement, de l’inflation et des évictions. Or, tous les campements ne sont pas similaires.

À Montréal par exemple, certains campements, comme celui démantelé le 17 juillet dernier par la Ville de Montréal à la demande du CP, étaient habités par des personnes tout à fait respectables : des retraités, des vétérans et des sans-abris sans troubles particulièrement graves. En revanche, d’autres campements, comme plusieurs dans le Village gai, sont occupés par des gangs criminels qui y tiennent des piqueries à ciel ouvert et s’adonnent à d’autres activités nuisibles à la quiétude des riverains. Dans quelques cas cet été, les policiers ont été contactés pour des plaintes de tapage nocturne et d’activités dans des parcs de la Ville de Montréal. Certains de ces campements étaient des dépotoirs à ciel ouvert. Suite à leurs plaintes, des citoyens se seraient fait répondre par le SPVM qu’ils ne pouvaient rien faire sans l’ordre de la Ville et ce, même en présence d’un règlement municipal qui interdit de circuler dans un parc après 23 h. 

Gay Globe a voulu confirmer cette information en demandant au SPVM, section relations médias, de nous confirmer le tout. Voici ce que nous avons reçu : « Dans les cas de démantèlement de campements urbains, le SPVM intervient en assistance aux différents requérant(e)s, c’est-à-dire les propriétaires de terrains privés, les instances municipales ou autres, etc. La décision de démanteler, la lecture de l’avis d’expulsion sur les lieux et le démantèlement en lui-même ne relèvent pas du SPVM, sauf exception. »

Il est donc exact que c’est la Ville de Montréal qui doit donner l’ordre aux policiers d’agir. Il serait urgent que la Ville le fasse dans le Village afin de permettre une décriminalisation de ce secteur, qui souffre beaucoup de ces troubles.

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