Un journaliste de Montréal, impliqué dans une lourde vendetta pathologique contre son compétiteur a annoncé faussement il y a quelques semaines que l’entreprise Disques A Tempo avait été mise en faillite par l’auteur de ces lignes. Le journaliste à l’origine de la fausse nouvelle est Éric Messier, un reporter de médias locaux et ce dernier a déclaré sur son site web que Disques A Tempo avait été mise en faillite pour une affaire de stocks invendus.
Rien n’est plus faux et voici pourquoi. Disques A Tempo est une entreprise qui appartient à Roger-Luc Chayer, l’auteur de ces lignes et elle est plus rentable que jamais. Elle n’a jamais été mise en faillite par Chayer puisqu’il en est le seul propriétaire, qu’il s’agit d’une raison sociale et non d’une corporation et que l’entreprise vend des licences sur ses oeuvres sans encourir de frais, elle est responsable de milliers de CD produits pour l’entreprise privée depuis sa création.
Au Canada, le fait d’annoncer publiquement une fausse faillite engage la responsabilité civile et criminelle de l’auteur de l’annonce et il est clair que Éric Messier devra vivre avec les conséquences de l’annonce d’une fausse faillite. Le propriétaire de l’entreprise a une cote de crédit R1, la plus élevé possible au Canada et une telle annonce, en plus de causer un vent de panique auprès de ceux qui transigent avec Disques A Tempo, peut avoir de réelles conséquences financières si elle n’est pas vite démentie, ce que son auteur refuse de faire. Disques A Tempo est une entreprise rentable qui n’a aucune dette, elle ne peut faire faillite puisqu’il s’agit d’une raison sociale enregistrée au Registraire des Entreprises du Québec sous le nom de Roger-Luc Chayer, tout autre information ne serait que saugrenue. M. Éric Messier est journaliste professionnel saugrenu.