Une colonoscopie de routine maladroite à Montréal

Laissez-moi vous raconter l’expérience vécue par un patient de l’hôpital Santa-Cabrini dans l’Est de Montréal lors d’une colonscopie de routine en 2009. Ce témoignage est important surtout parce que le Gouvernement souhaite convaincre les québécois de se soumettre à ce test de dépistage de problèmes intestinaux avant que ces problèmes de deviennent mortels. Dans les pubs, ont mentionne que le test est facile et sans douleurs…

Le patient, du prénom fictif de Maurice, afin de garder son anomymat, s’est présenté au département de gastro-entérologie de l’hôpital pur ce qui devait être un test de routine. Après les préparatifs d’usage commencés la veille, afin de nettoyer l’instestin et de permettre un examen minutieux, voilà que Maurice se retouve sur la table d’examen, son médecin examinateur est un vieux médecin d’orifine asiatique et son infirmière, une dame d’origine sarrasine, puisque la loi nous interdit de mentionner son ethnicité, hélas…

On donne deux comprimés d’Ativan 0.5mg au patient sublinguals de manière à le détendre pendant l’examen, quelques minutes plus tard, ça commence. On lui enfonce un tuyau de 5 pieds dans le derrière et bien qu’au début, tout se passe normalement, après quelques pieds de distance, les virages se font difficilement, avec des douleurs importantes.

Maurice a le sentiment que son calmant ne fonctionne pas, il mentionne au mécedin qu’il a très mal, le médecin continue à pousser et l’infirmière lui dit de se calmer. Plus le médecin pousse pour faire entrer le tube, plus Maurice a mal et se tourne vers le médecin pour lui dire d’y aller molo. Après 10 minutes de combat, le médecin abandonne et retire le tube de Maurice et voilà que l’infirmière, colérique et avec son accent sarrasin, dit à Maurice qu’il est un mauvais patient, qu’il n’a pas collaboré à l’examen et que le résultat ne sera pas probant par sa faute.

Au moment de se lever, Maurice réalise qu’il a toujours sous la langue les deux comprimés qui ne sont pas encore fondus. Il a donc eu droit à un examen qui doit normalement être fait sous calmant tout à fait à froid sous les insultes d’une infirmière stupide qui n’a même pas le mérite d’avoir la moindre compassion, « elle garde probablement de mauvaises habitudes de son pays d’origine la garce », de dire Maurice, bouleversé par l’expérience. « Dans d’autres circonstances, je lui aurait foutu mon poing sur la gueule », de conclure Maurice qui refuse désormais de subir une nouvelle fois l’examen comme recommandé par son médecin traitant. Trop humiliant, administré par un incompétent qui ne s’assure même pas que le patient soit médicamenté et assisté d’une fière représentante des accomodements raisonnables qui n’a rien à foutre de la souffrance des gens et qui n’est probablement pas à sa place, grâce aux politiques d’intégration favoritistes.

Les infirmières sont en moyen de pression pour tenter de convaincre le Gouvernement qu’elles sont indispensables, une vraie blague dans certains cas et le médecin examinateur a été remplacé par un jeune médecin autrement plus sympa et franchement plus compétent. Comme quoi le Québec évolue grâce à l’intégration! Vive l’intégration! Sauf pour quelques cas, c’est un succès, les autres gâchent tout.

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