Bonjour. Toujours cinéphile! C’est très bon, «L’affaire Tournesol», mais je l’ai en DVD (j’ai encore les miens, moi hi hi) J’espère que vous allez bien en cet automne ridicule?
(Violaine P., Montréal)
Bonjour Violaine, alors que plusieurs annonçaient la fin du DVD, voilà que le paysage télévisuel change avec l’apparition des Netflix et Tout.tv de ce monde et que les gens qui ont pu garder leur collection de films DVD peuvent les écouter à l’infini sans devoir payer chaque mois. Un trésor en ce qui me concerne et c’est la raison pour laquelle Gay Globe TV offre ses films classiques tout à fait gratuitement et sans abonnement, pour permettre à notre public d’avoir justement accès à des trésors du passé qui ont une valeur inestimable. Tintin et L’Affaire Tournesol en est un bon exemple, mais pour voir notre menu de films et émissions classiques en entier, il vous suffit de vous rendre au www.gayglobe.net/tv.html pour en profiter. Même chose avec nos livres et romans classiques disponibles au www.gayglobe.net/livres.html
(La rédaction)
Je suis resté très ému de votre entrevue avec Victoria Price et de savoir que son père a été aussi généreux sur la question du VIH à une époque difficile pour les LGBT. Merci pour votre travail unique.
(Sylvain L., Québec)
Merci Sylvain pour votre commentaire. Nous pensions que l’idée était bonne, car même si beaucoup de lecteurs plus jeunes ne connaissent rien de Vincent Price, ses gestes exemplaires étaient déjà importants pour nous, collectivement, il y a déjà plus de 40 ans. Victoria a été extraordinaire et très disponible. Nous l’en remercions à nouveau au passage.
(La rédaction)
J’ai reçu les deux CD classiques que j’ai commandés via Disques A Tempo et je suis heureux de mon achat fait par Gay Globe. Vous produisez une musique de qualité.
(Manon P., Laval)
Bonjour Manon, je ne sais pas quels titres vous avez achetés, mais merci pour votre commentaire.
(La rédaction)
Bonjour, je lis régulièrement votre magazine et il arrive assez souvent que vous parliez du travail de certains journalistes, français ou européens en général, qui ne semblent pas comprendre la différence entre le VIH et le SIDA. J’ai l’impression que ça vient de leurs préjugés. Est-ce que vous leur écrivez des fois pour leur expliquer?
(Damon A., Gatineau)
Bonjour Damon, Si on parle régulièrement de la méconnaissance de certains journalistes surtout français, qui ne distinguent pas le VIH du SIDA, c’est pour éduquer les gens d’ici. Oui j’ai envoyé une fois un article à mon collègue français qui expliquait qu’une personne était atteinte du virus du SIDA, plutôt que du VIH et il n’a même pas répondu. Je pense que mon rôle n’est pas d’éduquer mes collègues des autres pays,qui se foutent d’ailleurs de la question, mais de toujours mieux expliquer la distinction. Je le répète donc ici, on ne peut pas être atteint du virus du SIDA, car il n’existe pas. On peut être atteint du virus du VIH (virus de l’immunodéficience humaine) et une des complications causée par ce virus est le SIDA, qui est un syndrome (syndrome d’immunodéficience acquise). Voilà pour l’info.
(La rédaction)
Bonjour, je remarque que vos images que vous utilisez dans vos articles sont de très bonnes qualités et impressionnantes. Je vois que vous les prenez beaucoup à une compagnie Pixabay. Est-ce que c’est un logiciel qui se vend?
(Daisy H., Lévis)
Bonjour Daisy, depuis que nous utilisons les photos du service en ligne Pixabay (Allemagne), nous avons effectivement des résultats qui sont très impressionnants. Le service est gratuit et se décrit ainsi: «Pixabay est une communauté dynamique de créatifs partageant des images et des vidéos sans droit d’auteur. Tous les contenus sont publiés sous licence Pixabay, ce qui les rend sûrs à utiliser sans demander la permission ou donner crédit à l’artiste – même à des fins commerciales.», et on dit pouvoir offrir 1 million de photos et d’images. Évidemment, pour une entreprise de presse qui produit un magazine couleur sur papier haute densité gratuitement, ces photos sont tout à fait pour nous. Merci de le remarquer.
(La rédaction)
Depuis des mois je tente de convaincre les responsables de l’arrondissement Ville-Marie de tenter de faire un peu de ménage pas seulement sur Atateken ou Ste-Catherine Est, mais aussi sur les plus petites rues. On semble avoir abandonné toute volonté de nettoyer les rues et ça me fait beaucoup de peine.
(Marcel C., Montréal)
Il se passe clairement quelque chose Marcel avec les services des déchets dans l’arrondissement Ville-Marie. On trouve à peu près devant chaque porte de chaque immeuble des amas de poubelles, sans sacs, jetés sur la rue sans la moindre attention et pire, l’arrondissement ne nettoie ni ne ramasse ces poubelles. Vous n’êtes pas seul à être désemparé et excédé par la situation! (La rédaction)