Bonjour G, Je suis un fervent abonné de votre média et de la page Facebook aussi et j’ai remarqué l’arrivée de nouveaux collaborateurs qui approvisionnent votre page en nouvelles très variées et surtout très nombreuses. Je voudrais vous féliciter pour cet apport aux connaissances de nos communautés.
Michel « Mike » T., Québec
Bonjour Michel, vous être un fin observateur et en effet, avec les contributions plus nombreuses de Carle Jasmin, de Chad G. Peters et de Jojo Ming, nous sommes en mesure de publier 10 fois plus de nouvelles non seulement sur notre page Facebook, mais surtout sur notre fil de presse général à Gayglobe.net.
Mais la raison de ce virage en quantité de contenu, c’est pour compenser le manque de nouvelles en circulation causé par le blocage systématique de tous les médias au Canada par Meta (Facebook et Instagram). Nous tentons de compenser la situation en permettant un plus grand nombre de nouvelles de circuler par des moyens alternatifs et nous y arrivons, nos statistiques de circulation le démontrent.
Roger-Luc Chayer, éditeur
Bonjour M. Chayer, je suis une lectrice de longue date et j’attends toujours impatiemment vos éditoriaux sur la Fierté gaie, comme celui dans la dernière édition, celle avec M. Bernstein à la page couverture. Depuis que je vous lis, je dois vous dire que dans mon opinion, votre éditorial le plus saisissant et émouvant pour moi a été celui de 2022 quand vous parliez de la Fierté gaie en lien avec le Président Zelensky d’Ukraine. C’était votre meilleur coup jusqu’ici. Ma question est: Comment vous inspirez-vous pour écrire de tels textes? Comment faites-vous pour qu’ils soient aussi intéressants et remplis de sagesse?
Nichol D., Montréal
Bonjour Nichol, Merci pour vos observations et pour votre commentaire. Tout d’abord, je dois vous dire que depuis toujours, et cela vient probablement de ma formation comme musicien classique au Conservatoire de Nice en rance, j’ai une extraordinaire facilité à écrire. Je ne connais pas le syndrome de la page blanche.
En fait, j’écris comme je pense et je pense ce que j’écris. Quand vient le temps de consacrer un éditorial sur un sujet ou sur une personnalité, je lis toujours sa biographie avant, évidemment. Je laisse passer quelques heures le temps que mes idées sur la personne se mettent en place et hop, je commence la rédaction de ma pensée. Du début à la fin, je ne m’arrête presque jamais.
Mais les éditoriaux c’est aussi une question d’opinion, ce n’est pas un reportage et c’est ce qui explique le côté plus poignant, plus émouvant de ces textes. En espérant avoir répondu à vos questions:)
Roger-Luc Chayer, éditeur
Chers amis de Gay Globe, je me demande souvent comment prononcer le mot Globe du nom de votre magazine. Est-ce que c’est « Gay Glaube » à l’anglaise ou « Gay Glâbe » à la française?
Murielle V., Montréal
Bonjour Murielle, votre question est très rigolote et en même temps, elle me donne l’occasion d’attirer votre attention sur un élément insoupçonné sur la couverture du magazine, qui répond parfaitement à votre question…
Si vous regardez le nom du Magazine, il est écrit « GAYGLOBE » en un seul mot, en trois couleurs, et regardez bien la lettre O, il s’agit de la seule lettre du nom qui est écrite en phonétique, le O est ouvert sur le dessus. Qui dit phonétique dit pronon-ciation alors la réponse est dans le O ouvert qui se prononce comme « Glâbe » et non « Glaube » à l’anglaise. Merci pour votre question.
Roger-Luc Chayer, éditeur
Bonjour M. Chayer, je suis un lecteur régulier de vos publications et souvent quand je vous lis, j’admire vos prises de position déterminées et votre sens du devoir. Ce n’est plus tellement fréquent de voir ça dans les médias actuels. Bon travail!
Sylvain G., Sherbrooke
Bonjour Sylvain, Merci pour votre commentaire. Je n’ai pourtant pas souvent exprimé mes fermes convictions comme vous le dites, mais des faits exacts qui sont supportés par de nombreuses sources et en effet, quelques médias au Québec n’ont plus cette norme éthique, comme TVA d’ailleurs, et ça donne du mauvais journalisme-spectacle qui n’informe plus. Tant qu’à publier n’importe quoi, je m’abstiens et c’est la même philosophie qui anime l’équipe rédactionnelle.
Roger-Luc Chayer, éditeur
Dans votre édition 155, vous parlez de la crise au Village et de pistes de solutions possibles. Est-ce que vous avez eu un suivi de la part des élus sur vos propositions?
Paul H., Montréal
Salut Paul, il y a eu beaucoup de réactions sur les réseaux sociaux et des discussions très enrichissantes avec des idées nouvelles et des propositions, mais strictement rien de la Ville de Montréal ou de la Mairesse Plante. C’est comme s’il ne se passait rien au Village et que la Mairesse, qui est aussi Mairesse de l’arrondissement Ville-Marie, ne voulait plus en entendre parler. Elle est très loin du Village et de ses usagers, je ne sais pas comment on va s’en sortir vu l’état actuel de la situation…
Roger-Luc Chayer, éditeur