Il faut arrêter d’être un pays de pédés »: la phrase choc du président brésilien Bolsonaro Selon La Dépêche – Le président brésilien Jair Bolsonaro s’est fendu d’une phrase pour le moins maladroite pour minimiser les effets de la pandémie de Covid-19 dans le monde. Le virus a fait plus de 160 000 morts dans le pays. « Aujourd’hui, il n’y en a que pour la pandémie, il faut en finir avec ça. Je regrette les morts, je les regrette. Nous allons tous mourir un jour, tout le monde ici va mourir. Ça ne sert à rien de fuir cela, de fuir la réalité. Il faut arrêter d’être un pays de pédés. Nous devons nous battre la tête haute, lutter », a lancé le président d’extrême droite lors d’un discours sur le tourisme, au palais du Planalto, siège du gouvernement fédéral.
« Prison Break » : pourquoi Wentworth Miller ne veut plus jouer un personnage hétéro ? Selon Néonmag – L’acteur phare de la série Prison Break en a fini avec le personnage de Michael Scofield. Il pointe du doigt l’invisibilisation des minorités et la surreprésentation des histoires hétéros. Une saison 6 de Prison Break, trois ans après la sortie de la précédente, semble donc peu probable sans le personnage emblématique. « Plus jamais de Michael. Si vous êtes fan de la série et que vous espériez de nouvelles saisons… Je comprends votre déception. Je suis désolé », explique l’acteur de 48 ans.
Gabon : Deux femmes arrêtées pour avoir simulé un mariage homosexuel Selon 20minutes.fr – Deux Gabonaises ont été arrêtées ce lundi à Makokou, dans l’est du Gabon, pour « outrage aux bonnes mœurs » après avoir simulé un mariage homosexuel et s’être embrassées en public, selon le maire de la ville. La dépénalisation de l’homosexualité a été adoptée dans le pays en juin dernier mais « la loi ne permet pas de célébrer d’union entre personnes du même sexe », a expliqué une source proche du dossier.
Algérie : Condamnations collectives pour homosexualité Selon HRW.org – Le 24 juillet, après des plaintes de voisins, la police a effectué une descente dans une résidence privée à el-Kharoub, dans le nord-est de l’Algérie. La police y a arrêté 44 personnes, neuf femmes et 35 hommes, pour la plupart des étudiants inscrits à l’université. Un avocat algérien travaillant sur cette affaire a déclaré à Human Rights Watch que le tribunal s’était appuyé sur des rapports de police faisant état de décorations, de fleurs et de pâtisseries indiquant qu’un mariage était célébré, et sur l’allure prétendument gay des hommes présents, comme preuves de leur culpabilité. Le tribunal a reconnu les 44 personnes coupables de « relations homosexuelles », d’« outrage public » et de « mise en danger d’autrui par la violation des mesures de quarantaine relatives au Covid-19 ».