Les gays qui affichent publiquement leur orientation sexuelle sont nettement moins stressés que ceux qui ne le font pas, ont constaté des chercheurs du Centre d’études sur le stress humain, institut affilié à l’Université de Montréal. L’équipe de l’Hôpital Louis-H. Lafontaine a évalué le niveau de cortisol, ainsi qu’une vingtaine de marqueurs biologiques tels que les niveaux d’insuline, de sucre, de cholestérol, la pression sanguine et l’adrénaline.