Cyberattaque contre nous!

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Roger-Luc Chayer

Depuis plusieurs mois, et particulièrement depuis le déclenchement de la guerre contre l’Ukraine, nous subissons un nombre stupéfiant de cyberattaques qui totalisent en moyenne plus de 20 par jour.

Évidemment, inutile de tenter de contrôler ces attaques ou d’en chercher l’origine, les hackers savent comment se faire invisibles et ça serait une perte monumentale de temps. Toutefois, grâce à notre équipe technique à la fine pointe de la technologie, jusqu’ici, Gay Globe a été épargné de quelque conséquence que ce soit, notre site et nos courriels sont protégés par plusieurs couches de sécurité qui compliquent la vie à ceux qui voudraient nous nuire. 

Qu’est-ce qu’une cyberattaque au juste? Selon le grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française, « Ensemble coordonné d’actions malveillantes conduites par l’intermédiaire du cyberespace, qui visent à endommager, à forcer ou à détourner un réseau ou un système informatique afin de commettre un acte préjudiciable.  

Une cyberattaque peut notamment avoir comme objectif de voler des informations sensibles, d’espionner une personne ou une organisation ou encore d’endommager un système ou d’en altérer le fonctionnement normal. Une cyberattaque peut notamment cibler des ordinateurs ou des serveurs, isolés ou en réseau, des équipements périphériques et des appareils mobiles. »

Dans notre cas, après trois tentatives d’introduire un mauvais mot de passe, l’adresse IP est bloquée pour quelques jours, automatiquement, et cela en plus de fausses cases à remplir pour contrer les robots et d’autre mécanismes que je ne divulguerai pas ici.

Ces attaques démontrent l’importance de mettre en place une série de couches de protection, des leurres et des logiciels antivirus et autres qui, ensemble, permettent de déjouer toutes les tentatives, sans jamais n’avoir à intervenir physiquement. Nous recevons un rapport en temps réel par courriel pour chaque tentative et c’est suffisant!

Le Vietnam rappelle à ses soignants que l’homosexualité n’est «pas une maladie»

Selon AFP –  Le ministère de la Santé a demandé aux médecins et aux soignants de ne pas discriminer les patients LGBT, dont l’orientation sexuelle ou de genre n’est «pas une maladie», dans une directive bien accueillie mardi par les défenseurs de cette communauté. «Ne considérez pas l’homosexualité, la bisexualité, ou la transidentité comme une maladie», a écrit le ministère, après des signalements de médecins se targuant de pouvoir les soigner. «L’homosexualité ne peut être « soignée », n’a pas besoin +d’être soignée+ et ne peut pas être altérée», a précisé le document diffusée la semaine dernière, qui a appelé le personnel soignant à être «respectueux». Le Vietnam est considéré comme relativement progressiste sur les questions LGBT (lesbien, gay, bi, trans), par rapport à certains autres pays d’Asie, mais les clichés erronés sur l’orientation sexuelle ou de genre restent répandus.