NOUVELLES BRÈVES

Avancée historique au Liban: l’homosexualité n’est plus un crime
Par: Newsmonkey.be

2018 est une année clé pour les droits des LGBT+ au Liban. Pour la première fois dans l’histoire du pays, des candidats aux élections ont inscrit les droits des homosexuels dans leurs programmes, plaçant le Liban parmi les pays du monde arabe les plus avancés dans la protection des lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres. Une quasi centaine de candidats a appelé à la dépénalisation de l’homosexualité. Le 12 juillet 2018, le Liban a fait un pas supplémentaire pour les LGBT+. Dans un jugement progressif et capital, la Cour d’appel du Mont Liban, présidée par la juge Randa Khoury, a rendu un nouveau jugement affirmant que l’homosexualité n’est pas un crime. Il s’agissait d’un réexamen de l’article 534 du Code pénal libanais, explique le média Beirut.

43% des homosexuels s’abstiennent de s’embrasser en public par crainte de
remarques homophobes
Par: Bfmtv.com

Joël Deumier, président de SOS Homophobie, est venu dénoncer

sur RMC le fait que, même si les mentalités évoluent positivement, l’homosexualité ne soit pas véritablement acceptée en France. Il a rappelé notamment qu’une étude Ifop pour la fondation Jean Jaurès publiée il y a quelques jours montre que 53% des homosexuels ont été victimes au moins une fois dans sa vie d’une agression homophobe.

Panique homosexuelle: Un meurtrier exécuté dans l’Ohio
Par: AFP

Robert Van Hook, 58 ans, s’est excusé et a sangloté avant de recevoir une injection létale dans sa prison de Lucasville, selon les médias témoins de l’exécution. Il avait été condamné à mort pour avoir poignardé fatalement et mutilé un homme qu’il avait rencontré en 1985 dans un bar de Cincinnati. Les avocats de Van Hook avaient utilisé, sans succès, une ligne de défense extrêmement controversée, visant à atténuer des violences commises par un homme sous le prétexte de sa révulsion pour les actes homosexuels.

Un activiste anti-homosexualité se rend
aux policiers
Par: Radio-Canada

Le militant antigais Bill Whatcott, qui était visé par un mandat d’arrêt pancanadien, s’est rendu aux policiers à Calgary, en Alberta, et a été transporté à Toronto, en fin de semaine, selon la Police provinciale de l’Ontario. Il est accusé d’avoir distribué des pamphlets haineux qui visaient directement la communauté gaie lors du défilé de la fierté de Toronto en 2016. Il fait face à une accusation d’avoir fomenté volontairement la haine contre un groupe identifiable, c’est-à-dire les homosexuels. Il devra se présenter en Cour à Toronto lundi.

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